Biography  botón inglés botón francés botón espa˜õl          Repertoire         Discography        Press          Media

José Miguel Pérez-Sierra Press


Carmen. Metz June 2019

• Carmen au Théâtre de Metz: «Les Carmen se suivent et ne se ressemblent pas»

«Les chœurs, déjà mentionnés, sont remarquables. Dans tous les tempi, la cohésion est constante, avec une intelligibilité et une dynamique rares, sans jamais le moindre décalage, y compris pour le chœur des gamins, rafraichissant. L’artisan de la réussite est, au premier chef, José Miguel Pérez-Sierra. On avait déjà apprécié sa direction dans le grand répertoire italien. Ce soir, où il aborde Carmen pour la première fois, la réussite est magistrale. Dès le prélude, la dynamique joyeuse, légère, comme le pathos sans grandiloquence sont manifestes. Le discours musical, toujours attentif au chant, est construit avec subtilité, toujours les phrasés nous séduisent, assortis de couleurs justes. Il cravache comme il caresse son orchestre et c’est un constant régal. L’Orchestre national de Metz, proprement habité, a-t- il mieux joué ? Il se hisse au meilleur niveau, avec des solistes exemplaires, les bois tout particulièrement. Cette soirée restera en mémoire des auditeurs comme celle où l’orchestre a constitué le cœur de l’ouvrage, au service du chant et de l’action dramatique.»

Yann Beuvard | Forumopera | 20 /06/2019


La donna del Lago. Marseille, Novembre 2018

• La donna del lago – Marseille

Mais sans doute est-il temps de rendre hommage au chef d’orchestre qui a su tenir ensemble tous les fils et organiser la tapisserie. Collaborateur dès ses• La donna del lago – Marseille débuts d’Alberto Zedda, José Miguel Pérez-Sierra s’est abreuvé aux meilleures sources pour connaître et comprendre Rossini, qu’il dirige assidûment, en particulier à Bad Wildbad depuis plusieurs années. Il semble s’être attaché à accompagner les chanteurs dans ce mélange de rigueur et de souplesse qui les aide à donner le meilleur d’eux-mêmes, sans rien sacrifier des caractéristiques de l’orchestration, que Rossini avait particulièrement soignée en dépit de la pression à laquelle il était soumis en raison du calendrier. Les couleurs particulières voulues par le compositeur, comme la harpe pour le chant des bardes, les trompettes en coulisse, les percussions, le chant de la clarinette, le retour d’une mélodie comme un leitmotiv, les résolutions rapides et gracieuses qui semblent venues de Mozart, en ne négligeant rien le chef révèle toutes les beautés de la partition. Les airs au complet, avec les reprises et des variations, que demander de plus ? A la fin de l’œuvre, le chœur célèbre la paix et le bonheur en souhaitant que brille enfin la bonne étoile. La donna del lago entre au répertoire de l’Opéra de Marseille sous d’excellents auspices!

www.forumopera.com | Maurice Salles | 13/11/2018

• «La Donna del lago» à l’Opéra de Marseille : une distribution idéale pour un Rossini méconnu

A commencer par le directeur musical, José Miguel Pérez-Sierra. A 37 ans, l’Espagnol est l’un des spécialistes de Rossini, régulièrement invité à Pesaro au Festival consacré au compositeur. Sa parfaite connaissance des subtilités « rossiniennes » lui permet, avec la contribution efficace de l’orchestre de l’Opéra de Marseille, de mettre en valeur une musique toujours surprenante à l’instar de cet air guerrier de la fin du 1er acte qui débute avec le seul accompagnement des harpes et des pizzicati ou encore cette référence à Gluck au moment ou Rodrigo appelle sa troupe au combat ! Du Rossini pur jus et pur sucre avec ses reprises et ses tempi étonnants, avec son romantisme parfois exacerbé, avec ses couleurs idéalement mises en lumière par une direction nuancée, et toujours très respectueuse des voix, et par la précision d’un orchestre chaleureux et précis à tous les pupitres. De la belle ouvrage.

www.destimed.fr | Michel Egea | 14/11/2018

• A l’Opéra de Marseille, tout pour le chant avec la Donna del lago

Le public ne s’y est pas trompé en réservant un triomphe mérité à cette distribution exceptionnelle, conduite d’une main ferme et souple par le chef José Miguel Pérez-Sierra, spécialiste de la chose rossinienne.

La Marsellaise.fr | Patrick De Maria | 14/11/2018

• Rossini encore et toujours à l’Opéra de Marseille

José Miguel Pérez-Sierra maîtrise son sujet (la partition) et son instrument (l’Orchestre philharmonique de Marseille). On relèvera ici et là une dramatisation extrême mais on se sent emporté par ce débordement de vitalité, ce bouillonnement expressif. Et l’orchestre sonne, rutilant, souple, incisif, sans vulgarité, bref, convaincant.

Le Podcast Journal | Christian Colombeau | 13/11/2018

• Marseille, Opéra Municipal: “La Donna del Lago”

José Miguel Pérez-Sierra laisse sonner l’orchestre dans de minis introductions ou soutient les chanteurs tout en les laissant s’exprimer. Homogénéité des pupitres et des sonorités. Après les rythmes d’un Leonard Bernstein, la légèreté d’un Rossini. C’est avec souplesse et intelligence que l’orchestre se plie à ces exigences . Accords sonores sans dureté, moelleux des cordes, accompagnement sensible.

GB Opera | Jocelyne De Nicola | 15 /11/2018

• Donna del Lago a Marseille : Un feu d’artifice du Bel Canto

Le chef José Miguel Pérez-Sierra, qui fut assistant d’Alberto Zedda, connait son Rossini sur le bout des doigts. C’est la première fois qu’on ressent, sous sa baguette énergique, tous les accents belliqueux qui parcourent l’œuvre, jusqu’à ne former qu’un unique cri guerrier.

Resmusica | Catherine Scholler | 27/11/ 2018


Tosca Metz February 2019

• CRITIQUE, opéra. METZ, Opéra, le 1er fév 2019. PUCCINI: Tosca. Pérez-Sierra / Fourny.

Toute cette équipe es t conduite avec maestria, sans esbrouffe, par José Miguel Pérez-Sierra. Nerveuse, contrastée à souhait, lyrique sans jamais être sirupeuse, bien articulée, sa direction fait merveille.

Albert Dacheux | www..com | 4/02/2019

• Quintessentielle Tosca à l’Opéra de Metz-Métropole

Constamment à l’écoute des chanteurs, le chef José Miguel Pérez-Sierra adopte des tempi adéquats, apporte des nuances subtiles à l’ensemble comme aux solistes.

Céline Wadoux | www.olyrix.com | 04/02/2019

• Tosca mise en scène par Paul-Émile Fourny à Metz

À la tête de la phalange désormais nommée Orchestre national de Metz, le chef d’orchestre José Miguel Pérez-Sierra propose une lecture analytique de la partition de Puccini, faisant valoir davantage la modernité de l’œuvre que la sentimentalité dont on l’a souvent affligé. Ce « dégraissage » bienvenu accompagne idéalement la vision du metteur en scène, soucieux comme souvent d’allier tradition et modernité.

Pierre Degott | www.resmusica.com | 4/02/2019

• Comme au cinema. Tosca – Metz

Le second artisan de cette réussite est José Miguel Pérez-Sierra, un des meilleurs chefs lyriques du répertoire bel-cantiste et vériste. Le propos orchestral qu’il impose se confond avec le rythme du drame. Toujours attentif à chacun, en scène ou en fosse, sa direction est épanouie, tendue, nerveuse comme lyrique, qui ne laisse aucun temps mort. La traduction est toujours juste, de la vivacité bouffonne du sacristain, à la pompe du Te Deum, comme à la fraîcheur poétique de l’aube romaine. La luxuriance vénéneuse de l’orchestration est bien là, nous rappelant parfois des richesses que la routine avait occultées.

Yvan Beuvard | www.forumopera.com | 01/02/2019


Tancredi. Teatro Petruzzelli de Bari October 2018

A dirigere l’orchestra del Petruzzelli, con grande senso del bilanciamento sonoro, del ritmo che accelera e rallenta a seconda dell’intensità, è la bacchetta sicura dello spagnolo José Miguel Pérez-Sierra, in un felice debutto con Tancredi, dopo circa 13 titoli di Rossini. Merito del suo dosaggio sonoro se riescono a svettare le voci di entrambi i cast e quelle del coro del Petruzzelli.

La gazzetta del Mezzogiorno |Livio Costarella | 20//10/2018

Il direttore, lo spagnolo José Miguel Pérez-Sierra, ottiene il massimo dall’Orchestra del Petruzzelli, sfoltita par ottenere la giusta densità di suono e il “colore” adatto a Rossini. Con resultati notevoli.

Corriere del Mezzogiorno | Fabrizio Versienti | 21/10/2018

Il direttore d’orchestra, José Miguel Pérez-Sierra, è la musica fatta persona, per la facilità con cui entra nella partitura e la restituisce nella sua essenza, con l’agile complicità dell’orchestra del Petruzzelli.

La Repubblica | Fiorella Sassanelli | 21/10/2018


FESTIVAL MUSIKA-MÚSICA BILBAO. Wagner y Strauss. 4-5 MARZO 2016

 
Viernes sinfónico de Musika-Música

Buen inicio de nuestra programación con el Preludio y muerte de Isolda del “Tristán e Isolda” wagneriano con una orquesta que llenó el auditorio, gran formación con Pérez-Sierra que apostó por demostrar la gran calidad de estos músicos con una amplia gama dinámica algo contenida y secciones bien equilibradas. Momentos íntimos frente a la explosión anímica que nos dejó saborear la peculiar escritura e instrumentación del primer Ricardo de la noche, porque aún quedaba el segundo, Strauss con su impresionante Muerte y transfiguración, poema sinfónico op. 24. Verdadera implosión como ruptura hacia dentro en oposición a la explosión wagneriana, favorecida por una orquesta potente en número y calidad, especialmente la cuerda que consiguió el equilibrio de unos metales en estado de gracia, todo con una dirección clara de gesto e ideas a cargo del joven director madrileño a lo largo de los cuatro números donde prima el tiempo contenido pero la expresividad es contagiosa dentro de la intrincada escritura del alemán.

7 de Marzo, 2016. Pablo Siana

Captura de pantalla 2016-03-31 a las 12.13.24… con una interpretación notable, me quedaré –sin embargo- con los temas ofrecidos por la Orquesta Sinfónica de Euskadi que dirigió, en esta ocasión, José Miguel Pérez-Sierra. La Obertura en mi mayor Tannhäuser del maestro R. Wagner, una de mis piezas favoritas, se presentó con la emoción hasta el borde de la lágrima. Otro tanto cabe decir del Poema Sinfónico Opus 30, Así habló Zaratustra, de R. Strauss.

24 de Marzo, 2016. González Alonso

 


LA SONNAMBULA in PALACIO EUSKALDUNA BILBAO. ABAO. 2016

 
LogoPlateaWITN_150Platea Magazine

José Miguel Pérez-Sierra ya fue el director musical del anterior Bellini de ABAO, I​ puritani. ​Volvió a demostrar que es un maestro que conoce perfectamente este repertorio concertando con elegancia. Siempre atento al escenario, su objetivo fue el lucimiento de los cantantes y dejar que fluyeran dulcemente las conocidas melodías bellinianas. Buena respuesta desde los atriles de la siempre solvente Sinfónica de Bilbao”. Javier del Olivo, 24/1/2016. 


el diaio vasco
El Diario Vasco

El maestro Pérez-Sierra cada vez luce más y mejor el arte de la concertación y la forma de asistir a los cantantes con el rigor de la partitura, utilizando a la orquesta, cual así ocurrió, como el complemento perfecto para la escena”. 25/1/2016


logo el Correo
El Correo

“El maestro Pérez-Sierra, al frente de la BOS, supo reflejar la delicadeza y parsimonia rítmica de una partitura en la que es preciso dejar cantar casi “ad libitum” al solista”. 25/1/2015

 forum operaForum Opera

“Pourtant, au-dessus d’eux, parce qu’il les a accompagnés et soutenus avec la souplesse immédiate qui fait les grands chefs d’opéra, nous situerons José Miguel Pérez Sierra, un chef d’orchestre d’ores et déjà lancé, invité régulièrement à Bilbao et à Bad Wildbad, que son talent promet sans le moindre doute à un brillant avenir. De cette œuvre où il est si facile de tomber dans la convention, d’en donner une interprétation superficielle, visant la joliesse sans éviter l’impression de rabâchage due aux reprises, il donne une lecture d’une subtilité qui subjugue. Non seulement il en révèle le raffinement de la composition dans la diversité des plans et dans l’utilisation des timbres, grâce à la collaboration de l’orchestre symphonique de Bilbao et à une direction incroyablement précise, mais il restitue les redites à leur vocation fondamentale”. Maurice Salles, 26/1/2015


logo_eklektikaEklektika

“Par sa rigueur et son enthousiasme, le chef d’orchestre José Miguel Perez Sierra sut lui aussi emporter l’Orchestre Symphonique de Bilbao et le public dans une bien belle soirée”. Frederik Verbeke, 29/1/2016.


codalario logoCodalario

“ABAO sigue apostando por el joven maestro José Miguel Pérez-Sierra para abordar títulos belcantistas. Al frente de la Orquesta Sinfónica de Bilbao consiguió un buen equilibrio sonoro entre foso y escenario”. Rubén Martínez, 30 de enero 2016


L’ITALIANA IN ALGERI in BAD WILDBAD ROSSINI FESTIVAL 2015

 

Badische Zeitung

Badische Zeitung

Bei der “Italienerin” ist es der erstaunliche José Miguel Pérez-Sierra, der als Dirigent einen so feingliedrigen wie nervigen Rossini-Ton entfacht.  


pz_plus_shadow
Pforzheimer Zeitung

Der bejubelte Erfolg des ausgelassenen, gut zweistündigen Opernspaßes hat zunächst mit dem temperamentvollen Dirigat von José Miguel Pérez-Sierra zu tun, der am Pult der ansteckend aufgelegten Virtuosi Brunenses ein sprühendes Feuerwerk entfacht und sich mit Dynamik, mitreißenden Tempi, locker inspiriertem Parlando und einfühlender, emotional aufgeladener Musikalität als fabelhafter Rossini-Interpret empfiehlt.


Opernschnipsel
Opernschnipsel

Am Donnerstag gab es für mich die persönliche Eröffnung mit “L’italiana in Algeri”. José Miguel Pérez-Sierra dirigierte mit Lust und Witz.  


 OPERA GAZETOpera Gazet

De Virtuosi Brunenses deden hun naarm eer aan en klonken zeer virtuoos onder de bezielende leiding van José Miguel Perez-Sierra.

 
forum opera
Forum Opera

Cerise sur le gâteau, l’orchestre se montre à son meilleur, les cors sont sans reproche, et José Miguel Pérez-Sierra obtient des effets de transparence et d’écho qui font déjà de l’ouverture une entrée de fête. Musiciens et chef prennent justement leur part du triomphe décrété par le public.


 logo opera journalOpera Journal

José Miguel Pérez-Sierra led the Virtuosi Brunenses (opera orchestra from Brno,Czech Republic) and the Camerata Bach Choir of Poznan (Poland). Their playing and singing were to the manor born. What a delightful introduction to this year’s Festival this Italiana was!


logo-poly

Poly

Le public est en effet à quelques mètres de l’orchestre dirigé par José Miguel Pérez-Sierra,les Virtuosi Brunenses, excellents, comme toujours.


IL TURCO IN ITALIA in SANTIAGO DE CHILE

 
logo_mercurio
El Mercurio

Hay que partir por lo principal, y lo más importante es lo que Rossini es capaz de hacer con la orquesta, conducida con total imperio por José Miguel Pérez-Sierra. Con un control absoluto de la dinámica y logrando equilibrar siempre la variedad de tempi, el maestro extrae lo mejor de la Filarmónica, que se luce en el burbujeante camino de las cuerdas, en los solos melódicos de los vientos, en la creación de las atmósferas (dramáticas, algunas de ellas), en las evocaciones a Mozart, en la delicadeza de los recitativos y en la impecable ejecución de los dos finales de acto. Un trabajo, el de Pérez-Sierra, que es un encaje de principio a fin, en el que los contrastes surgen en el fluir y nunca con violencia, y en el que los crescendo resultan un acopio de energía que se alimenta por etapas. 


 bio bio chile logoBio bio Chile

Pero los positivos resultados no se quedaron sólo en los numerosos aciertos escénicos, sino además en cómo éstos estuvieron al servicio de lo musical, entrelazándose a la perfección.  Gran mérito tuvo en esto la dirección orquestal del español José Miguel Pérez-Sierra al frente de la Filarmónica de Santiago, quien además dirigirá las funciones del reparto nacional, el llamado elenco estelar; en su debut en el Municipal el año pasado, precisamente con esos “Puritanos” de Sagi, comentamos en este mismo sitio que este maestro demostraba una gran afinidad con el estilo belcantista y preocupación por apoyar a los cantantes desde el foso. Esa impresión se vio acentuada en esta ocasión, y demostró que Pérez-Sierra aprovechó muy bien las enseñanzas de quien es considerado internacionalmente el “apóstol” y mayor experto de Rossini en el último medio siglo, el hoy octogenario director y musicólogo italiano Alberto Zedda, de quien el español fue asistente entre 2004 y 2009. Desde la contagiosa obertura en adelante, subrayando muy bien los contrastes, detalles y sutilezas y equilibrando acertadamente las voces y la orquesta en los números concertados (en particular en la chispeante energía del final del primer acto y en todos los crescendos orquestales), Pérez-Sierra abordó por primera vez en su trayectoria este título ofreciendo una lectura dinámica, vigorosa y llena de vitalidad, como debe ser en una comedia como esta.


El Mostrador
El Mostrador

Ahora, la verdad, es que el hispano dirigió una partitura (en la cual debutaba), pero que, sin embargo, paladeaba en sus más escondidos secretos conceptuales:el virtuosismo del bel canto, y la alegría y el carnaval de lo “bufo”: a final de saldos, una apología lírica (y humorística) de principio hasta la caído del telón.


 Una Voce Poco faUna voce poco fa

Pero los positivos resultados no se quedaron sólo en los numerosos aciertos escénicos, sino además en cómo éstos estuvieron al servicio de lo musical, entrelazándose a la perfección. Gran mérito tuvo en esto la dirección orquestal del español José Miguel Pérez-Sierra al frente de la Filarmónica de Santiago, quien además dirigió las funciones del segundo reparto; este maestro debutó en el Municipal el año pasado, precisamente con esos Puritanos de Sagi, demostrando gran afinidad con el estilo belcantista. Esa impresión se vio acentuada en esta ocasión, y demostró que Pérez-Sierra aprovechó muy bien las enseñanzas del considerado internacionalmente “apóstol” y mayor experto vivo en Rossini, el hoy octogenario director y musicólogo italiano Alberto Zedda, de quien el español fue asistente entre 2004 y 2009.

Desde la contagiosa obertura en adelante, subrayando muy bien los contrastes, detalles y sutilezas y equilibrando acertadamente las voces y la orquesta en los números concertados (en particular en la chispeante energía del final del primer acto y en todos los crescendos orquestales), Pérez-Sierra abordó por primera vez en su trayectoria este título ofreciendo una lectura dinámica, vigorosa y llena de vitalidad, como debe ser en una comedia como esta.


 

logo_mercurio
El Mercurio

El director José Miguel Pérez-Sierra, a cargo de las versiones Internacional y Estelar, domina y destaca los refinamientos de una partitura muy exigente, según la edición crítica Bent, integral. La Filarmónica lo sigue impecablemente. 


Chile BChile B

En lo musical, importante mérito recayó en la batuta del español José Miguel Pérez-Sierra, quien debutó el año pasado en Los Puritanos (Bellini), con resultados desparejos. De completo idiomatismo, los tempi adoptados tuvieron absoluto arreglo a los requerimientos escénicos, como una completa visión del todo, más un puntilloso trabajo en las diferencias de planos, dinámicas y fraseos.

El segundo elenco, también musicalmente a cargo de Pérez-Sierra, fue casi ciento por ciento nacional, y que nuevamente brindó altísimas satisfacciones (pudo verse sus dos presentaciones). Lo más meritorio constituyó al alto grado de homogeneidad de resultado, propio de una compañía con años de trabajo conjunto. Interesante cómo en lo musical Pérez-Sierra pudo adecuar tempi y acentos, conforme las características de este segundo elenco, imprimiéndole en varios pasajes mayores agilidades, y consecuentemente un resultado más burbujeante.


 bio bio chile logoBio bio Chile

Afortunadamente dirigiendo a la Filarmónica de Santiago volvió a estar el mismo maestro español de las funciones del elenco internacional, el notable José Miguel Pérez-Sierra, quien con talento destaca los contrastes sonoros y los muchos detalles de la partitura, y sabe manejar a la perfección el ritmo y los volúmenes orquestales en las tan típicas aceleraciones rossinianas. La lectura es de una energía chispeante y equilibra las voces y la orquesta con precisión.


 visionescriticas.clVisiones críticas

… el otro factor, es que la misma batuta, la de José Miguel Pérez-Sierra, dirige ambos elencos, consiguiéndose entonces, gran unidad de estilo y enfoque. En cuanto a su dirección, en el elenco Estelar, no se produjo ahora desajuste alguno, en el último septeto, en cambio, se apreciaron en ciertos momentos algunos sonidos poco pulcros, pero salvo eso, en el resto la orquesta volvió a mostrar estupendo sonido, y Pérez-Sierra, se adaptó perfectamente a las potencialidades de los cantantes, convirtiendo nuevamente a la orquesta en cómplice musical de este elenco.


logo El Guillatún
El Guillatún

La dirección musical estuvo a cargo de José Miguel Pérez-Sierra, quien, con una enorme experiencia en el repertorio belcantista, condujo a la perfección a la Orquesta Filarmónica de Santiago, manteniendo un alto volumen, pero logrando todos los matices necesarios entre los distintos instrumentos del conjunto y también cuando el desarrollo de la obra lo requería.