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Ahlima Mhamdi Press

Mère Marie de L’incarnation, Dialogue des Carmélites, Opéra de Massy, Mireille Delunsch oct 2023

« La meilleure pour la fin : Ahlima Mhamdi prête à Mère Marie un mezzo gorgé de saveurs, avec à la fois de la chair et une rectitude implacable dans ses phrasés, un alliage de feu et de rigueur dans sa diction comme sur son visage. » Emmanuel Dupuy, Diapason Magazine, oct.23

« La mezzo-soprano Ahlima Mhamdi confère au personnage difficile de Mère Marie de l’Incarnation une présence imposante et d’une rectitude implacable. Entre feu et glace, sanglée dans ses certitudes et ses souhaits du martyr, elle met en valeur ses vastes moyens vocaux et ses aigus tranchants à son total service. » José Pons, Olyrix, oct.23


Carmen Al Andalus, Opéra éclaté, Olivier Desbordes, Brunoy

«Le rôle-titre est interprété par Ahlima Mhamdi, qui connaît déjà bien ce personnage sensuel mais surtout insolent, provocateur. Sa voix sert constamment son jeu scénique, investi, parfois intense, avec un timbre rond, de jolies teintes de lumière et un vibrato qui apporte la chaleur de son mezzo. Sa diction irréprochable permet de savourer chacune de ses paroles et également ses nuances expressives.» Emmanuel Deroeux, Olyrix ,  mai 2023

«Pour avoir, à plusieurs reprises, incarnée la Carmen de Bizet, Ahlima Mhamdi a une connaissance intime du personnage, et en donne une interprétation idéale. Elle lui prête sa beauté altière, jouant de son mezzo capiteux. Les grands morceaux de bravoure sont chantés avec une telle sincérité, un tel feu, qu’on a l’impression qu’ils viennent d’être composés.» Bruno Villien, Opéra Magazine , aout 2023


Carmen, Labopéra Bourgogne, Zénith Dijon, Ismaël Guttierez, Juin 2023

« Ce sera une des révélations de la soirée : Ahlima Mhamdi est une des plus belles Carmen écoutées ces dernières années. La voix est chaude, colorée, expressive, et l’émotion est au rendez-vous, non seulement dans les airs célèbres mais aussi dans les passages où les demi-teintes le disputent à de solides graves, jamais poitrinés. L’engagement et le jeu dramatique sont à l’avenant. La chanson bohême et les « tra, la, la » atteignent des sommets. Une authentique Carmen, dont il faut guetter les apparitions. «Yvan Beuvard, forumopéra , juin 2023


Carmen, Paul-Emile Fourny, Opéra de Massy, septembre 2021

«La Carmen d’Ahlima Mhamdi est plus que convaincue : la gestuelle sensuelle se mêle aux regards intenses, tantôt amoureux, tantôt assassins. La mezzo met également sa voix au service de son jeu et puise dans la rondeur de ses mediums pour réchauffer son timbre. Grâce à sa diction impeccable et à sa projection, elle ressort du plateau vocal avec aisance. Dans les graves, elle n’hésite pas à recourir à une voix de poitrine proche du parler, gorge serrée, qui tranche avec ses envolées éclatantes. » Malory Matignon, Olyrix, oct 21


L’Impératrice d’Eric Rouchaud, Théâtre impérial de Comlpiègne, Décembre 2020

«La diva apparait alors, sous les traits d’Ahlima Mhamdi, qui chante « Di tanti palpiti », extrait de Tancredi. La mezzo franco-marocaine possède tous les atouts : à une présence scénique pleine de classe, elle joint une voix assurée et prenante. On le vérifie à la fin, quand Eugénie pleure la mort de son fils unique, tué en Afrique du Sud, à l’âge de 23 ans : dans « Va ! laisse couler mes larmes » de Werther, Ahlima Mhamdi exprime une émotion maitrisée et poignante : elle pourrait bien entrer dans le cercle si restreint des tragédiennes lyriques.» Bruno Villien,opéra magazine, nov 2020

 « Ahlima Mhamdi brille tout autant, avec sa voix de mezzo aux reflets satinés, aussi ardents dans les graves qu’étincelants à l’autre extrémité de la portée. Sous les traits de Giuditta Pasta (l’une des nombreuses personnalités historiques qui se trouvent ici réincarnées, au même titre que Cocteau, Pasteur ou Mérimee), le grand air de Tancredi, «Di Tanti Palpiti» est remarquablement interprété, avec une voix sonore sur toute la ligne, et une diction idéalement incisive. » Pierre Giraudie, Olyrix, oct 2020


La Preziosilla, la Forza del destino, Grand Théâtre de Genève, version concert au Victoria hall, Paolo Arrivabeni, Février 2016

«la Preziosilla incandescente d’Ahlima Mhamdi, dotée d’un timbre splendide, d’une tessiture incroyable faisant fi des coloratures et des hardiesses de son air.» Thomas Muller, bachtrack.com, février 2016

«Ahlima Mhamdi a commencé sa carrière au Nouveau Studio de l’Opéra de Lyon. Désormais habituée des scènes lyriques françaises et du Grand Théâtre de Genève, elle campe Preziosilla avec fougue et même rage d’une voix puissante et avec toute la moquerie et le sarcasme nécessaires. Son Rataplan, rataplan, rataplan de la fin du troisième acte est impeccable et triomphal.» Pierre Tricou, odb-opera.com, février 2016

«Avec le choix d’Ahlima Mhamdi, membre de la Troupe des jeunes solistes en résidence (et déjà entendue sur la scène du Grand Théâtre en Afra dans Wally en 2014), on rend aussi justice à Verdi en confiant le personnage de Preziosilla, comme il le souhaitait, à une voix de premier ordre, qui intervient avec brio et autorité.» Fabrice Malkani, forumopera.com, février 2016


Maddalena, Rigoletto, Robert Carsen, Grand Théâtre de Genève  septembre 2014

«Au sein d’une fratrie malsaine toute vêtue de cuir, nous retiendrons, avant le frère Sparafucile qui manquait un peu de grave, sa sœur Maddalena. Ahlima Mhamdi se révèle être une agréable surprise dans cette soirée. Voilà une mezzo qui chante admirablement bien avec une projection et une capacité à percer dans les ensembles tout à fait étonnante. […]Il est rare d’entendre des Maddalena et des Monterone de ce niveau,il est donc nécessaire de souligner la grande qualité de ces jeunes artistes.[…] Une ouverture de saison marquée donc par la révélation des deux jeunes femmes, Lisette Oropesa et Ahlima Mhamdi.» Mathieu Guigue, classiqueinfo.com, sept 2014


Fenena, Nabucco, Roland Aeschlimann, Grand Théâtre de Genève, février 2014

«Remarquée – et remarquable – également, la soprano franco-marocaine Ahlima Mhamdi, qui campe une Fenena attachante, en faisant de son air « Oh, dischiuso è il firmamento » un des plus beaux moments d’émotion de la soirée.» Emmanuel Andrieu, opera-online.com fév. 2014

«Jolie découverte que la Fenena fraiche et charmante de la jeune mezzo franco-marocaine Ahlima Mhamdi, dotée d’un timbre chaleureux et d’une émission vocale très naturelle. Son air du IV révèle ainsi une belle sensibilité et un vrai sens du legato.» Nicolas Grienenberger, classicnews.com fév. 2014